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Tour de passe-passe
avec l'argent <o />(Association
Nutshell Publishing - <st1 />West
Sussex)<o />Que se passe-t-il aujourd'hui pour que la crise
économique et sociale s'aggrave ainsi ? A l'évidence, il n'y a pas un
pays qui ne s'enlise jusqu'au cou en s'endettant auprès d'instituts
financiers internationaux aux réserves inépuisables. Si toutes les
nations sont lourdement endettées, à qui cet argent est-il dû ? Même
aux États-Unis, la dette nationale est colossale. Vous êtes-vous déjà
demandé d'où vient tout l'argent prêté ?<o />Tout l'argent de la dette publique est dû à quelques
instituts financiers internationaux privés, par l'intermédiaire de la
Banque Mondiale, FMI.., et toujours plus d'argent doit leur être
emprunté pour les rembourser, ce qui veut dire toujours plus de dettes,
avec de lourds intérêts...<o />Ce que nous allons voir est le fait que ce ramassis
d'iniquité, d'injustice sociale, de pauvreté, de corruption et de
dévastation de l'environnement a pour origine un vice caché, et la
stupidité des hommes politiques est soigneusement camouflée. Ce vice
caché - et c'est ainsi dans tous les pays - c'est que l'argent est créé
en tant que crédit. La plupart des gens s'imaginent que notre monnaie
est émise par ordre de notre gouvernement... mais non, ce n'est pas le
cas ! Sachez-le : notre monnaie n'est plus émise par l'État, mais par
des cartels bancaires privés !<o />Il y a longtemps déjà, nos gouvernants ont remis aux
banques privées l'ancien droit constitutionnel de l'État de créer
l'argent de la nation. Quand les banques vous prêtent de l'argent, à
vous, à moi, à l'industrie ou à la collectivité, c'est de l'argent neuf
: c'est de cette façon que l'argent entre dans l'économie, presque
uniquement de cette façon, en fait ! <o />LA CRÉATION MONÉTAIRE SE FAIT PAR LES STRUCTURES
BANCAIRES <o />Les Institutions financières augmentent la masse
monétaire parce qu'elles émettent la contrepartie sous forme d'actifs
monétaires et d'actifs financiers.<o />- La création monétaire est l'émission d'actifs
monétaires par le crédit bancaire, c'est de l'argent prêté qui permet
d'acquérir immédiatement des biens et des services quand vous n'en avez
pas assez.<o />- L'émission d'actifs financiers, par les institutions
financières représente la mise en circulation de titres de propriété
sur l'économie (actions) ou de titres de prêteur (obligations), mais
dont le pouvoir d'achat - la liquidité - n'est pas immédiat sur
d'autres biens.<o />L'argent qui est prêté doit être remboursé, les
intérêts en plus. Ainsi, par exemple, si une banque vous accorde un
prêt, elle crédite sur votre compte 10 000 euros, et cette somme va
pouvoir entrer en circulation. Bien sûr, vous devrez à la banque 10 000
euros, plus des intérêts. Aussi, quand vous aurez fini de rembourser
votre prêt, les intérêts payés font que davantage d'argent est entré
dans les réserves de la banque, plus que ce qui a été prêté au départ.
Ce principe fondamental s'applique aussi à l'État, que l'argent soit
prêté à un particulier, à un commerçant ou à la collectivité, c'est du
pareil au même. A partir de là, il est facile de constater - puisque
tout l'argent arrive en tant que crédit, sur lequel sont greffé des
intérêts à payer - qu'il y a finalement plus d'argent dû aux banques
dans toute l'économie du pays que ce qui circule réellement. En
d'autres termes, environ deux fois plus d'argent est dû aux banques que
ce qui est réellement mis en circulation. Si nous tous, toute
l'industrie et toute la collectivité, remboursions toutes nos dettes
aux banques, tout l'argent se trouverait dans les mains des banques et
nous leur en devrions encore beaucoup. La dette publique ne peut jamais
être remboursée, et le seul moyen de couvrir le déficit public est de
trouver plus d'argent. Comme l'argent ne provient de fonds privés qu'au
moyen du crédit bancaire, davantage d'argent doit être emprunté, ces
prêts devront être remboursés avec intérêts, et cela continue ainsi, et
la nation s'endette donc indéfiniment. Ainsi, on observe une escalade
interminable de dettes dans les politiques économiques nationales. Vous
comprenez pourquoi les économistes ont les yeux rivés sur les taux
d'intérêt !<o />Celui qui
contrôle l'argent de la nation contrôle la nation ». (Thomas
Jefferson). Et, comme le disait Edmond de Rothschild, le grand banquier
international, si vous lui permettiez d'émettre l'argent d'une nation,
il ne se soucierait pas des lois. Il est facile de voir que, tandis que
ce processus se poursuit, et puisqu'on a donné pouvoir aux banques de
s'emparer du capital de tous les pays qui ne pourront rembourser, les
banques prennent graduellement possession de tout l'avoir d'une nation.
Des nations font faillite sous leur contrôle : il y a quelque chose de
choquant là-dedans, non ? <o />D'où vient l'argent prêté par les banques ? La réponse
est : IL VIENT DE NULLE PART, elles utilisent le principe du puits sans
fond. <o />Les banques ne prêtent pas l'argent mis dans des
réserves quelque part. L'argent qui est déposé est réinvesti, placé en
bourse. Elles prêtent de l'argent qui n'existe pas encore au moment où
il est prêté. Ce sont donc seulement des chiffres écrits dans un
registre et entrés dans un ordinateur. Vous pouvez penser que tout cela
est incroyable. Et c'est pourtant comme ça: C'EST UN TOUR DE
PASSE-PASSE ! <o />Cela peut vous stupéfier d'imaginer qu'un tour de
passe-passe aussi malhonnête enrichisse ainsi des banquiers. Vous
pouvez vous montrer incrédules à l'idée que les gouvernements du monde
entier permettent une chose pareille. Or, le fait que cela soit
incroyable est probablement leur meilleure protection. Aussi, ne nous
croyez pas sur parole ; vérifiez-le vous-même ! Vous découvrirez que
tout ceci est vrai ! Vos conclusions seront certainement identiques :
c'est un enrichissement malhonnête. Pour les banquiers créant cet
argent sous forme de prêts, c'est une sorte de permission légale de
faire ainsi de la contrefaçon de monnaie. Cela les rend incroyablement
riches alors qu'ils ne produisent rien pour contribuer au bien-être des
humains. Si une escroquerie peut être définie comme « prendre quelque
chose sans rien donner en échange », alors oui, c'est de l'escroquerie.
<o />La richesse est un immense pouvoir, et il va donc
entre les mains d'organisations bancaires privées, à un cartel bancaire
international qui a donc un pouvoir illimité de créer de l'argent et de
s'en approprier facilement. Cela les rend capables d'acheter tout ce
qu'ils veulent. Cela leur donne le contrôle - au moyen du crédit
bancaire - des destinées des nations et de l'économie mondiale. Quand
vous comprenez que des gens malhonnêtes peuvent contrôler les
ressources mondiales d'argent, qu'ils peuvent amener les gouvernements
à les supplier pour en avoir, qu'ils peuvent les manipuler au niveau
mondial, et ainsi faire et défaire des nations entières, alors, à moins
que vous ne soyez incroyablement naïfs, vous devez penser que le destin
de l'humanité est sérieusement mis à mal. Et ici même, maintenant,
début du XXI siècle, un pouvoir presque absolu s'est installé.
Malheureusement, ces hommes qui détiennent le pouvoir ne sont pas
bienveillants, parce qu'ils ont fait avec ce pouvoir montre qu'ils
dédaignent ou méprisent totalement le reste de l'humanité. <o />En résumé, les nations se débattent avec une dette qui
est due à une anomalie d'ordre monétaire. Nous devons plus d'argent
qu'il n'en existe et nous ne pourrons jamais combler notre dette. Les
effets de cette anomalie sur l'économie mondiale et le destin des
peuples sont terrifiants. On assiste à des guerres horribles. Trouvez
un politicien vénal comme Hitler. Prêtez-lui de l'argent pour
construire une machine de guerre. Faites-le rembourser avec intérêts
grâce au pillage de l'Europe, avant qu'il ne s'effondre. On pourrait
aussi ajouter : prêtez à l'Europe l'argent pour reconstruire après la
fin de la guerre, et faites en sorte que tous ceux qui paient des
impôts et taxes vous remboursent ce prêt avec intérêts. C'est comme
cela que la mise à sac par procuration s'est faite.Sources : http://perso.wanadoo.fr/bioeconomie/CA1.htm
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5 commentaires -
Partez! M. le Président
La France ne vous écoute plus. Elle n'entend pas davantage
votre gouvernement, confronté à la mission impossible de réaliser en
quelques mois ce qui n'a pas été fait en quelques années. En 2002,
Monsieur le Président, nous attendions de vous une stratégie, et un
pilotage vers une France moderne permettant de valoriser nos potentiels
et notre rayonnement dans le monde. La déception est immense. L'échec du
référendum sur la Constitution européenne vous a fourni une occasion d'en
tirer toutes les conséquences.
Vous ne l'avez pas fait, accélérant ainsi la fin d'un cycle politique
durant lequel les Français auront perdu leur fierté, mais aussi leur
niveau de vie. Ce sont seize mois à risque social grave, dans un climat
d'attentisme et d'intrigues, que le pays va devoir affronter.
Les Français vont découvrir que nous n'avons plus d'argent : sans en être
informé, chaque ménage a été endetté par l'Etat à hauteur de 41 000
euros, soit en moyenne davantage que son endettement privé. Jamais depuis
la fin de la seconde guerre mondiale nous n'avions connu une telle
situation de ruine des finances publiques. Tout cela ne s'est pas produit
en un seul jour, ni indépendamment des politiques conduites. Quand,
Monsieur le Président, avez-vous fait savoir aux Français les
conséquences de cette situation ? Jamais. Cela seul justifierait que vous
partiez.
Lors de vos voeux aux Français le 31 décembre, ce fut de votre part un
silence assourdissant. Pensez-vous normal de renoncer à vous soucier de
ce qu'il adviendra des jeunes générations que nous endettons pour
financer notre propre fuite en avant ? Nous achetons avec le fruit de
leur travail futur notre peur d'affronter le monde tel qu'il est. Mais
qui va payer la facture ? Quelle jeunesse accepterait dans un même temps
un accroissement des retraites engendré par la démographie et une dette
exponentielle engendrée par l'incompétence d'une classe dirigeante ? Vous
avez admis, lors de la campagne référendaire du printemps dernier, ne pas
comprendre les jeunes. Craignez que la jeunesse, elle, ait compris ce que
vous avez fait : rompre la solidarité entre les générations.
Pourquoi n'a-t-on pas expliqué aux Français qu'à la fin des années 1970,
notre PIB par tête dépassait de 25 % celui des Britanniques, et
qu'aujourd'hui celui des Britanniques est supérieur de 10 % au nôtre ? Il
eût fallu expliquer les raisons de cet effondrement. Est-ce la capacité
de vision et de réalisme de Margaret Thatcher et de Tony Blair qui ont
fait la différence avec les références à un monde ancien de François
Mitterrand et de Jacques Chirac ?
L'Histoire jugera un tel décrochage culturel, économique, et donc social,
car sans croissance les acquis sociaux ne sont que des chèques sans
provision. Avec nos chercheurs, nos universitaires et nos entrepreneurs,
nous avions, et nous avons encore, tous les potentiels d'une économie
moderne. Faute d'encourager leur synergie, le risque est grand et que
notre croissance moyenne continue de baisser.
C'est probablement, Monsieur le Président, la fin d'un système politique
dont vous êtes le chef, capté à droite comme à gauche par un groupe de
hauts fonctionnaires, brillants mais coupés du monde réel. Une caste
administrative qui n'a pas su adapter notre pays, car elle n'a jamais
voulu s'appuyer sur l'intelligence collective de nos concitoyens. Cette
suffisance engendre le cynisme, le mensonge, et finalement l'échec.
Aujourd'hui, la fracture est profonde. Le rejet de la classe politique et
les avertissements exprimés lors des scrutins nationaux depuis quinze ans
n'ont pas été compris, et donc pas suivis d'effet. Notre classe politique
n'a pas su se renouveler et propose des modèles dépassés. Or de nombreux
Français, en particulier dans nos régions, sont prêts à participer à
l'émergence d'une économie de la croissance, à redéfinir les missions et
les conditions de l'efficacité de l'Etat, à promouvoir un modèle social
qui produise autre chose qu'un taux de chômage à 10 %. Je voudrais,
Monsieur le Président, avec tout le respect dû à votre fonction, vous
demander de mettre fin à votre mandat dans l'urgence, comme l'a fait le
chancelier Gerhard Schröder, et comme l'avait fait le général de Gaulle
en son temps. Cela permettra l'émergence d'une nouvelle ambition pour la
France en redonnant la parole au peuple.
Ne faites pas de votre échec, Monsieur le Président, l'échec de la
France. Une attente insupportable émaillée de discours sans légitimité
politique, et donc sans effets réels, peut conduire notre pays à une
situation proche de celle qu'a connue l'Argentine. Elle ferait le jeu des
extrêmes, et entraînerait probablement un infarctus démocratique en 2007.
Croire en la France, c'est redonner le pouvoir aux Français. C'est à vous
de décider, Monsieur le Président.
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Auteur Christian Blanc
Site :
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Langue originale: français
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Salut ! Une mésaventure récente qui fait réfléchir : un matin , je valide la mise à jour automatique du firmware de ma borne airport express ( logiciel interne d'une bonre wi-fi pour Mac ) .Peu après le redémarrrage de celle-ci , ma copine et moi avont développé d'affreuses et incessantes douleurs de tête ( de cerveau ).Du coup on a coupé tous les appareils électriques... Il nous a fallu 3 heures pour s'en remettre !Le lendemain , je remets tout en route .... pareil ! Affreux ! Je redébranche tout ...J'attend un peu , je réfléchis malgré le mal de crâne et j'en déduit que la seule chose qui avait changé était cette petite mise à jour .Du coup, test ! Je rebranche la borne airport toute seule et je sens la douleur ...La preuve est faite , l'Airport ( depuis cette mise à jour ) est devenue très dangereuse pour la santé , peut-être l'était-elle déjà avant , après tout ce sont des ondes de la famille du GSm qui nous traversent continuellement .L'Airport étant à la norme Wi-Fi 802.b, je crois , le Wi-Fi serait peut-être dangereux aussi , alors ...et on projette de l'installer partout dans les gares , déjà dans certains bars , etc ... Un nouveau type de pollution par les ondes ? Après tout , il y a eu déjà beaucoup de dégats chez les familles à coté desquelles on a installé des antennes de relais pour la téléphonie sans fil .Quelqu'un en saurait-il plus ? Ah oui , et je vends une borne airport express en très bon état , pas cher ! :§Fanfan
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