• Sauf exception, un animal dont le cordon ombilical aurait été sectionné par un vétérinaire .

    Le nombril serait-il un symbole d'assistanat ?


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  • Ils se fichent de nous...

    En 1960, les 20 % de la population mondiale vivant dans les pays les plus riches avaient un revenu 30 fois supérieur à celui des 20 % les plus pauvres. Il était de 82 fois supérieur en 1995 ... ... alors que dans plus de 70 pays, le revenu par habitant est inférieur à ce qu'il était il y a vingt ans et que près de 3 milliards de personnes - la moitié de l'humanité - vivent avec moins de 10 francs par jour.

    Les 3 personnes les plus riches du monde possèdent une fortune personnelle de 1000 milliards de francs...

    ... alors que le PIB cumulé des 48 pays les plus pauvres, le quart des États du monde, est inférieur à ce montant.

    Le plus riche, Bill Gates, a triplé sa fortune personnelle en 3 ans. Elle est maintenant de 540 milliards de francs...

    ... alors que 70 pays les plus pauvres se sont encore plus appauvris et que 100 FF permettent à une famille malgache ou africaine de manger pendant un mois..

    Les 200 personnes les plus riches détiennent 6000 milliards de francs en capital personnel. Un prélèvement sur le capital de moins de 4% annuel suffirait pour donner à toute la population du globe l'accès aux besoins de base.......

    ... alors que le budget annuel de l'UNESCO, en faveur d'1,8 milliards d'enfants en difficulté dans le monde, est 100 fois plus faible.

    Si on estime les revenus des 200 personnes les plus riches à seulement 7% du capital, ces revenus représentent plus de 400 milliards de francs par an. ...

    ... alors qu'avec ces 400 milliards annuels on peut nourrir 400 millions de personnes affamées... et que la satisfaction universelle des besoins sanitaires et nutritionnels ne coûterait que 100 milliards de francs, soit à peine ce que les habitants des États-Unis et de l'Union Européenne dépensent, par an, en consommation de parfums.

    L'ensemble des salaires versés en France annuellement est de 2500 milliards de francs , mais à elles seules, les transactions spéculatives sur les monnaies (et elles ne sont en aucune façon ni productives, ni taxées) représentent de 6000 à 10000 milliards de francs par jour ...

    ... alors que taxées à 0,1% (Taxe Tobin), elles fourniraient des recettes d'environ 300 milliards de francs par an. Partagée entre les pays collecteurs et un fond à destination des pays pauvres, les pays collecteurs augmenteront leurs capacités d'investissements collectifs et les pays pauvres verront la faim et d'autres maux disparaître en quelques années.

    La Citibank, en spéculant sur les devises au cours du seul premier semestre 98, a réalisé un bénéfice de 3 milliards de francs, avec 350 employés...

    ... alors que dans le même temps les 140 000 employés de Peugeot ne permettaient à l'entreprise que de dégager un bénéfice sensiblement équivalent.

     

    Le réseau du Mouvement Sociétal
    Vous rêvez d�un monde meilleur ? Vous pouvez devenir son artisan..

     

     


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  • Partez! M. le Président


    La France ne vous écoute plus. Elle n'entend pas davantage
    votre gouvernement, confronté à la mission impossible de réaliser en
    quelques mois ce qui n'a pas été fait en quelques années. En 2002,
    Monsieur le Président, nous attendions de vous une stratégie, et un
    pilotage vers une France moderne permettant de valoriser nos potentiels
    et notre rayonnement dans le monde. La déception est immense. L'échec du
    référendum sur la Constitution européenne vous a fourni une occasion d'en
    tirer toutes les conséquences.


    Vous ne l'avez pas fait, accélérant ainsi la fin d'un cycle politique
    durant lequel les Français auront perdu leur fierté, mais aussi leur
    niveau de vie. Ce sont seize mois à risque social grave, dans un climat
    d'attentisme et d'intrigues, que le pays va devoir affronter.


    Les Français vont découvrir que nous n'avons plus d'argent : sans en être
    informé, chaque ménage a été endetté par l'Etat à hauteur de 41 000
    euros, soit en moyenne davantage que son endettement privé. Jamais depuis
    la fin de la seconde guerre mondiale nous n'avions connu une telle
    situation de ruine des finances publiques. Tout cela ne s'est pas produit
    en un seul jour, ni indépendamment des politiques conduites. Quand,
    Monsieur le Président, avez-vous fait savoir aux Français les
    conséquences de cette situation ? Jamais. Cela seul justifierait que vous
    partiez.


    Lors de vos voeux aux Français le 31 décembre, ce fut de votre part un
    silence assourdissant. Pensez-vous normal de renoncer à vous soucier de
    ce qu'il adviendra des jeunes générations que nous endettons pour
    financer notre propre fuite en avant ? Nous achetons avec le fruit de
    leur travail futur notre peur d'affronter le monde tel qu'il est. Mais
    qui va payer la facture ? Quelle jeunesse accepterait dans un même temps
    un accroissement des retraites engendré par la démographie et une dette
    exponentielle engendrée par l'incompétence d'une classe dirigeante ? Vous
    avez admis, lors de la campagne référendaire du printemps dernier, ne pas
    comprendre les jeunes. Craignez que la jeunesse, elle, ait compris ce que
    vous avez fait : rompre la solidarité entre les générations.


    Pourquoi n'a-t-on pas expliqué aux Français qu'à la fin des années 1970,
    notre PIB par tête dépassait de 25 % celui des Britanniques, et
    qu'aujourd'hui celui des Britanniques est supérieur de 10 % au nôtre ? Il
    eût fallu expliquer les raisons de cet effondrement. Est-ce la capacité
    de vision et de réalisme de Margaret Thatcher et de Tony Blair qui ont
    fait la différence avec les références à un monde ancien de François
    Mitterrand et de Jacques Chirac ?


    L'Histoire jugera un tel décrochage culturel, économique, et donc social,
    car sans croissance les acquis sociaux ne sont que des chèques sans
    provision. Avec nos chercheurs, nos universitaires et nos entrepreneurs,
    nous avions, et nous avons encore, tous les potentiels d'une économie
    moderne. Faute d'encourager leur synergie, le risque est grand et que
    notre croissance moyenne continue de baisser.


    C'est probablement, Monsieur le Président, la fin d'un système politique
    dont vous êtes le chef, capté à droite comme à gauche par un groupe de
    hauts fonctionnaires, brillants mais coupés du monde réel. Une caste
    administrative qui n'a pas su adapter notre pays, car elle n'a jamais
    voulu s'appuyer sur l'intelligence collective de nos concitoyens. Cette
    suffisance engendre le cynisme, le mensonge, et finalement l'échec.

    Aujourd'hui, la fracture est profonde. Le rejet de la classe politique et
    les avertissements exprimés lors des scrutins nationaux depuis quinze ans
    n'ont pas été compris, et donc pas suivis d'effet. Notre classe politique
    n'a pas su se renouveler et propose des modèles dépassés. Or de nombreux
    Français, en particulier dans nos régions, sont prêts à participer à
    l'émergence d'une économie de la croissance, à redéfinir les missions et
    les conditions de l'efficacité de l'Etat, à promouvoir un modèle social
    qui produise autre chose qu'un taux de chômage à 10 %. Je voudrais,
    Monsieur le Président, avec tout le respect dû à votre fonction, vous
    demander de mettre fin à votre mandat dans l'urgence, comme l'a fait le
    chancelier Gerhard Schröder, et comme l'avait fait le général de Gaulle
    en son temps. Cela permettra l'émergence d'une nouvelle ambition pour la
    France en redonnant la parole au peuple.


    Ne faites pas de votre échec, Monsieur le Président, l'échec de la
    France. Une attente insupportable émaillée de discours sans légitimité
    politique, et donc sans effets réels, peut conduire notre pays à une
    situation proche de celle qu'a connue l'Argentine. Elle ferait le jeu des
    extrêmes, et entraînerait probablement un infarctus démocratique en 2007.
    Croire en la France, c'est redonner le pouvoir aux Français. C'est à vous
    de décider, Monsieur le Président.







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    Auteur Christian Blanc

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    Langue originale: français

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  • RFID ÉTIQUETTES DANS LES NOUVEAUX BILLETS DOLLARS US ET LES EUROS ! En effet on nous avait annoncé que des puces RFID seraient insérées dans les billets ou monaie de touts les pays du monde en 2005, en commençant par les 4 grandes: dollar canadien, dollar US, l'EURO et la Livre Sterling. Et bien, on n'a pas attendu jusque là. Les nouveaux billets en sont "contaminés". J'ai fait l'expérience qui est décrite et elle fonctionne. L'odeur que cette puce dégage en cuisant est nauséabonde. Les "draconiens" et leur contrôle deviennent de + en + solide. Bientôt elle pourra suivre un billet d'argent d'une main à l'autre. Mieux qu'un chèque encore. Micro-cuisons notre argent ! Vont-ils la refuser ? Pas les magasins ! Ils devront penser à un autre moyen. Anglais. Traducteur demandé. Je suis trop en retard sur mes dossiers pour le faire. Merci aux offrants.


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  • De l'eau sur Mars ! Douce et salée ! On nous le donne au compte-goutte. Dites plutôt qu'il y a des rivières et des lacs. Les photos prises par les sondes de Mars sont flagrantes. Pourtant la NASA ne vous en a jamais parlé. Ni les médias. On nous prépare lentement pour ne pas bousculer les religions qui se croyaient seules dans l'Univers.


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