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La thèse proposée par Matrix vous a titillé ? Et si nous vivions nous aussi dans une sorte d'illusion de ce que l'on nous apprends à considérer comme notre "réalité" ?Ici un texte retrouvé il y a de nombreuses années ... Je sais qu'il est long et que vous avez peu de temps à consacrer au savoir , à l'apprentissage ou à l'éveil . Mais il est pluus court et plus simple à comprendre que la dernière constitution. Il y aussi un résumé .Je ne demande à personne de croire aveuglément à ceci , je vous demande de vous faire une opinion, d'utiliser votre bon sens, d'écouter vos impressions et sentiments car on ne peut pas tout décrire avec nos mots .- Armes silencieuses pour guerres tranquilles
- Armes silencieuses (version longue)
- Armes silencieuses (le résumé)
- Le document traduit en français, au format rtf : armes_silencieuses.rtf
- Silent Weapons for Quiet Wars (version originale)
- Les publications de références (sources bibliographiques originales)
Textes en lignes sur le site de l'IPRI
12 commentaires -
Société - Le parti de la majorité confirme avoir mené une campagne marketing en utilisant le système de liens sponsorisés Adwords de Google. Des mots-clés évoquant la situation de violence dans les banlieues pointent vers une pétition de soutien à Nicolas Sarkozy.
En tapant «violence», «émeutes», «banlieue», «voitures brûlées», ou encore «racaille» dans le moteur de recherche de Google, nombre d'internautes ont eu, ce week-end, la surprise de voir apparaître un lien publicitaire pointant directement sur le site officiel de l'UMP. Plus précisément sur une pétition de soutien «à la politique de fermeté» de son président, le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, face aux affrontements dans les banlieues.
Marketing politique ou mauvaise blague d'internautes revanchards (et fortunés...) après la campagne d'e-mailing controversée réalisée par le parti de la majorité début octobre? Renseignements pris auprès de l'UMP, il s'agit effectivement d'une campagne orchestrée par le prestataire technique officiel de l'UMP, l'Enchanteur des nouveaux médias.
Cette agence n'en est pas à son coup d'essai en matière de marketing internet. Lors de la précédente élection présidentielle, elle s'était illustrée en créant Gauchestory.com, un site pastiche du Loft de M6, qui mettait en scène avec humour les candidats de la gauche plurielle.
«Depuis le début des émeutes, nous avons reçu beaucoup d'e-mails de soutien, et de nombreux élus ou des militants ont fait circuler au total dix-sept pétitions pour encourager Nicolas Sarkozy», explique àZDNet.fr une porte-parole du parti. «Nous avons donc demandé à notre prestataire technique de canaliser les demandes, de façon à ce que lorsque les internautes font des recherches sur l'UMP et sur les violences, ils tombent sur un texte [officiel]».
3.000 signataires de la pétition en deux jours
Le prestataire technique s'est donc tourné vers Google, et son système Adwords, qui permet d'enchérir sur certains mots-clés pour faire apparaître des liens sponsorisés lors des requêtes des internautes. «Nous avons acheté trois familles de mots-clés», confirme de son côté Arnaud Dassier, directeur de l'Enchanteur des nouveaux médias: «Des mots-clés politiques, d'autres qui ont trait à la personne de Nicolas Sarkozy, et enfin des mots-clés sur le thème des banlieues.»
Sur ce dernier point, il s'agit d'une expérimentation qui a débuté ce week-end, explique-t-il, pour déterminer quel trafic ce genre de mots-clés pouvait amener sur la pétition. Et le résultat ne s'est pas fait attendre: «Nous avons des taux de clics bien supérieurs à la moyenne, avec des pointes à 10% ou 15% parfois», poursuit Arnaud Dassier. Lundi 7 novembre, en début d'après midi, plus de 12.000 personnes avaient atterri sur la pétition via ces liens, et 3.000 avaient rempli le formulaire.
Pour le directeur de l'Enchanteur des nouveaux médias, il n'y a aucun problème éthique à utiliser ces registres sémantiques pour générer plus de trafic sur un site politique: «Ce sont des mots que les gens utilisent tous les jours, qu'ils lisent dans les journaux». D'ailleurs, la presse elle-même ne se prive pas d'utiliser des méthodes semblables, pointe-t-il: le Nouvel Obs apparaît lui aussi en lien sponsorisé lorsqu'on tape les mots-clés «banlieue» ou «cités».
La campagne continue tant que les évènements dureront
Arnaud Dassier réfute toutefois avoir sciemment posé une enchère sur un terme comme «racaille». Le prestataire désigne comme responsable le système Adwords de Google: pour chaque mot-clé, il propose une liste de synonymes ou de champs lexicaux voisins pour lesquels le lien sponsorisé apparaîtra également.
«Nous avons nettoyé énormément ces propositions, dans lesquelles apparaissaient des termes bien pire que racaille, et nous n'avons jamais eu l'intention de laisser le mot-clé racaille passer», garantit-il. Pourtant, comme le montrent nos captures d'écran réalisées lundi matin (voir au bas de l'article), le lien sponsorisé de l'UMP apparaît bien lors d'une requête sur ce terme. En outre, nous avons effectué un test sur Adwords, au terme duquel il ressort que l'achat d'un mot clé (en l'occurence "racaille") ne peut s'effectuer que s'il est expressement sélectionné par l'annonceur.
Contacté par ZDNet.fr, Google France n'a pas retourné nos appels.
En cours de journée, le lien sponsorisé UMP ne s'affichait plus suite à la requête "racaille". Les autres liens ont également temporairement disparu en cours de journée: «Ils ont eu tellement de succès qu'ils ont fait exploser le système, il s'agit d'un problème technique», avance la porte-parole de l'UMP. Mais la campagne ne va pas s'arrêter pour autant, et les liens sponsorisés devraient réapparaître: «Elle se poursuivra tant que les évènements durent, tant que les Français sont inquiets et cherchent des informations sur ce sujet», assure Arnaud Dassier.
Capture d'écran de Google avec le mot-clé «racaille»
Capture d'écran de Google avec le mot-clé «voiture brulée»
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Communiqué de la Ligue Odebi 15-11-2005La Ligue dénonce une désinformation sur le site internetde France 2 et interpelle le CSA------------------------------------------La Ligue Odebi constate que France 2 n'a toujours pas mis en ligne sursonsite internet la vidéo du journal télévisé de 20 heures du 10 novembredernier, alors que les journaux du 8,9,11,12, et 13 novembre sontdisponibles.La censure de cette vidéo est due au fait qu'elle comporte un reportagemettant en évidence des violences policières manifestement illégitimes.La Ligue dénonce une grave atteinte au droit à l'information desfrançais,d'autant plus intolérable qu'elle est le fait d'une entrepriseaudiovisuelledu secteur public, financée par les français, d'une part, et d'autrepartqu'elle intervient dans un contexte où la réflexion citoyenne,s'appuyantsur une information impartiale, est primordiale.La Loi Fontaine (LEN) a défini la communication au public par voieélectronique comme un linteau s'appuyant sur deux piliers : lacommunicationaudiovisuelle (radio et télévision quel que soit le support dediffusion),et la communication au publlic en ligne (partie publique del'internet).Même si l'on peut se demander si la mise en ligne des journaux deFrance 2relève bien du pilier audiovisuel, la Ligue note que selon l'article3-1 dela loi 86-1067 du 30 septembre 1986, le CSA garantit l'indépendance etl'impartialité du secteur public de la radio et de la télévision.France 2 appartenant à l'évidence au secteur public de la télévision,laLigue demande publiquement au Conseil Supérieur de l'Audiovisueld'intervenir afin que soit mis fin dans les plus brefs délais à ce quiconstitue une désinformation inacceptable dans une démocratie.liens:http://jt.france2.fr/20h/http://today.reuters.fr/news/newsArticle.a...ER-20051114.XMLhttp://www.liberation.fr/page.php?Article=338202"Censure? Pressions politiques? Arlette Chabot, directrice del'informationde France 2, dément: «On ne voulait pas que ces images soientdétournées ouutilisées n'importe comment. Nous ne voulions pas non plus tomber danslasurenchère et qu'elles tournent en boucle au risque d'envenimer leschoses àla veille d'un week-end à risques. Mais il n'y a pas de pression ni decensure, c'est moi qui ai pris cette décision, même si j'en ai parlé àladirection de France Télévisions.» Et voilà une nouvelle fois la téléversantdans la même extrême prudence qu'elle observe depuis le début desviolencesen banlieue. Une prudence toujours dans le même sens, celui dugouvernement."http://permanent.nouvelobs.com/societe/20051112.OBS4983.html"Une vidéo de bavures policières diffusée jeudi soir lors du journaltélévisé de 20h00 de France 2 et à l'origine de la mise en examen de 5policiers est curieusement introuvable sur le site internet de lachaîne, aconstaté samedi 12 novembre le Quotidien Permanent nouvelobs.com.Contrairement à son habitude, la chaîne n'a pas mis la vidéo du journaltélévisé en question en ligne sur son site. Sur sa page consacrée auxvidéosde ses journaux, on peut en effet constater un "trou" dans les archivesdu20h00 à la date du 10 novembre (voir photo), alors que les JT des 9 et11novembre sont quant à eux entièrement disponibles."________________________________________________Message sent using EmailsOnWeb.com_______________________________________________Odebi-soutien mailing listOdebi-soutien@pjduvivier.comhttp://pjduvivier.com/mailman/listinfo/odebi-soutien_pjduvivier.com
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Levons le voile sur le mystère des produits laitiers . Que sont-ils , que font-ils , pourquoi y'en a-t-il partout ? Est-ce qu'on en a besoin ?
Et y'a t-il autre chose que le lait pour se régaler ?Un excellent article ici : - Lait de Vache : prudence !
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