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Surprotégée, la grande distribution est devenue une machine souvent
purement capitaliste et inhumaine. Un spécialiste scrute ses rouages.
Dérangeant.
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Pour une tomate plus facilement stockable, qui ne laisse pas de traces de doigts après avoir été tripotée, qui ne moisit pas, etc... bref pour avoir un rayon fruits et légumes plus clean que chez Monsieur Propre.
La dernière trouvaille : on mélange des gênes de scorpion. ( source : christian Jacquiau )
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En Allemagne, un nettoyant ménager à base de nanoparticules a été précipitamment retiré du marché.
C'est le premier nano-scandale. La première alerte sanitaire au monde impliquant l'univers complexe des
nanotechnologies: lancé en Allemagne à grand renfort de publicité, le nettoyant ménager pour salle de
bains Magic Nano devait révolutionner la vie des ménagères en projetant sur le carrelage un film
invisible capable de repousser la saleté et les bactéries. Las! Ce produit miracle a été retiré
précipitamment des magasins, après avoir déclenché des phénomènes de détresse respiratoire chez 97
consommateurs. Et ce en l'espace de trois jours à peine. Plusieurs d'entre eux ont même été hospitalisés
pour un oedème pulmonaire (accumulation de liquide dans les poumons).
Jusqu'ici, les risques liés aux nanotechnologies étaient purement théoriques. De nombreuses expériences
sont en cours dans les laboratoires pour tenter de déterminer si ces particules qui se mesurent à
l'échelle du nanomètre (un milliardième de mètre) peuvent mettre en danger la santé des citoyens.
Leur petite taille les rend en effet susceptibles de pénétrer profondément dans les poumons ou de
traverser la barrière de la peau. Mais nul ne sait aujourd'hui en mesurer les conséquences.
Les intoxications observées en Allemagne constituent-elles la preuve qu'attendaient les militants
«anti-nano», particulièrement actifs en Amérique du Nord ? Pas si vite. Les experts réunis le 7 avril
dernier par l'Institut fédéral allemand de l'évaluation du risque (BFR), à Berlin, ont refusé de se
prononcer. Pour une raison simple : ils n'ont pu obtenir du fabricant Kleinmann ni la composition
détaillée de l'aérosol ni la taille exacte des particules suspectées ! L'enquête se poursuit donc.
Pendant ce temps, les crèmes antirides et les écrans solaires à base de nanoparticules continuent
à se vendre partout dans le monde, y compris en France... sans susciter de craintes particulières.
Source :
Estelle Saget, sur le site de l'Expressonnouscachetout.com
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Comme le JT nous désinforme, le cinema relève ses manches et nous fait de VRAIS scoops. Une vérité pas facile à avaler, moins facile que les couloeuvres télévisées. Mais l'espoir réside dans la connaissance. Cela dit, vous pouvez me dire " mais ce n'est que du cinéma", je vous vous répond "oui, c'est un petit bout, alors imagine ce que c'est vraiment en réalité !"
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